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Page:Bulletin de la société des historiens du théâtre, année 4, n°5-6.djvu/11

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que celle de 1780 (8) on n’y a fait que de simples améliorations d’aménagejment intérieur. De sorte que le théâtre d’Amiens est actuellement, à notre connaissance, le plus ancien théâtre provincial de France. Henri CHENU. GLUCK ET PICCINI A PARIS

(Fin)

(Voir p. 10 à 21, 48 à 63)

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BORDE (de la). Anecdote sur l’Orfeo, de Bertoni, ap. Essai sur ta Musique, t. IV, 1780-81 (L). DORAT. Coup d’œ;< sur la t:7fej’afure. Paris, 1780. A M. Gluck, en lui envoyant une imitation en vers de l’ode de Dri/den sur le pouvoir de la musique (Almanach des Muses pour 1780).

Anonyme. Compte-rendu élogieux d’Atgs de Piccinni (J. P.. 23 février 1780).

Anonyme. Articles sur les opéras de Gluck (J. P., 8 et 13 mars 1780).

GLUCK. Lettre à Klopstock (Ménestrel, 15 octobre 1854; R. G..M., 29 septembre 1872) (P). Sur la manière de chanter Alceste. GLUCK. Lettre à Palissot, de Vienne, 18 mai 1780 (Desnoireterres, Gluck et Pi’ccinm) (P).

Contre Marmontel et autres « insectes du Parnasse GLUCK. Lettre (à Krutthofer?), de Vienne, 30 mai 1780 (B. C., fonds Malherbe; S. 7. M., 1914, t. II). Il le prie de dire à Mathon de ne pas toucher à Echo et Narcisse, qui a beaucoup perdu du fait de Berton. Les Fran(8) Peu de temps après le congrès de Lyon, nous eûmes une preuve piquante de ce fait. Alors que notre regretté confrère me faisait visiter avec quelle ferveur son cher théâtre, nous trouvâmes, dans l’atelier de menuiserie, un fragment de tambour, évidemment fort ancien en l’examinant de plus prés, nous y lûmes la signature du chef machiniste Péteil. Je crois que H. Chenu demanda que ce curieux vestige fût déposé au musée de la ville.