Page:Bulteau - Les Pierres du chemin, chronique parue dans Le Figaro (Supplément littéraire) du 11 mai 1907.djvu/13

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est ici sous tous ses aspects, brûlante, froide, romantique, contemporaine, au crépuscule, à l’aube, la nuit… Il y a des Venise empâtées, des Venise lisses… Il y a surtout une Venise grande comme nature ! La gondole, l’eau, les pigeons, tout est grand comme nature, et c’est superbe