Moi pouvoir pas le tuer !… et même moi pouvoir pas lui répondre.
Je vais vous mettre en rapport avec celui qui l’a eu le premier. À telles enseignes que d’après son dire, il a enlevé ce bijou à une belle Morisque qu’il a tuée dans l’assaut.
Hélas !
Venez ; lui-même va vous conter cette histoire.
Je ne lui en donnerai pas le temps. Au premier mot, dès qu’il se sera fait reconnaître, je le frappe de mon poignard.
Marchons.
Arrêtez !
Arrière !
Je le tuerai, dût le monde entier le défendre !
Il s’est mis du côté de notre adversaire.
Eh bien ! mon cher, tuons-le.
Peu m’importe qu’ils soient tous contre moi ! je puis me défendre contre tous.
Quoi ! tous contre un !… c’est une lâcheté. Arrêtez-vous, soldats, ou, vive Dieu ! je vous forcerai à vous arrêter !
Le beau voyage !… Ne rien dire et se trouver dans des disputes !
Je suis mort.
Quel est donc ce tapage ?
Il y a un homme de tué. Fuyons, qu’on ne nous arrête pas.