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Boniface, riant.
Vos espérances !… j’en ai la liste dans ma poche. Élise… tenez, parcourez-la. — (Il signe le contrat, et le fait signer à Catherine et à Lussan.)
la marquise.
Voyons… (Elle lit avec Élise.) L’impertinent.
Élise, rendant la lettre à Fierval.
Cette lettre me donne une leçon salutaire : puissiez-vous en profiter comme moi.
Fierval, voulant cacher son embarras.
Eh bien !… quoi ?… c’est une plaisanterie ; voudriez-vous, pour si peu de chose…
Élise, lui fait une révérence profonde.
Adieu, Monsieur.
Fierval, reprenant son ton ordinaire.
Vous avez tort ; vous n’en retrouverez pas qui me vaille… Je vous présente bien mon respect.
(Il salue, et va pour sortir.)
Boniface, sans se déranger.
Adieu, jeune homme… Sans rancune ?
Fierval, s’en allant.
Pas la moindre.
Henry, embarassé.
Vous suivrai-je, Monsieur ?
Fierval.
Non, je te chasse. (Il sort.)
Henry.
Merci, Monsieur, — Oh, ma petite Fanchette !