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Scène X et dernière.
LES PRÉCÉDENS, hors FIERVAL.
Boniface, les ramenant en scène.
Élise a pris lę parti le plus sage ; mais elle n’y perdra pas ; et, sous peu… suffit. (À Élise et Catherine.) Quant à mon bien, mes enfans, je le partage entre vous deux ; c’est, je crois, le meilleur moyen de vous accorder.
Catherine.
Je vous laisse le maître absolu de mon sort. Il n’est qu’une grace sur laquelle j’insisterai.
la Marquise.
Laquelle ?
Catherine.
C’est la permission de disposer de ma ferme en faveur de Fanchette. (En riant.) Il est bien juste qu’elle soit récompensée de toutes les peines qu’elle a prises pour moi.
la Marquise.
De grand cœur, ma chère enfant ; je n’ai rien à te refuser.
Fanchette, baisant la main de Catherine.
Oh, ma bonne maitresse !
Henry, dans son coin.
Je serai donc le seul malheureux !
Lussan.
Pourquoi donc, mon ami ?