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cide de mon sort, que je me permettrais… (Vivement.) Ah ! voilà Fanchette ; interrogeons-la, nous saurons à quoi nous en tenir.
Fierval, à part.
C’est incroyable !
Scène II.
les Précédens, FANCHETTE, qui traverse le
théâtre sans les voir.
Élise.
Fanchette ? ici, que je vous dise un petit mot.
Fanchette, embarrassée.
Mam’zelle… j’vous demandons bien pardon… mais c’est que j’sommes pressée, voyez-vous. (Elle veut s’en aller.
Fierval, la retenant.
Un moment !
Fanchette.
J’n'en avons point à perdre, et sur-tout avec vous, Monsieur.
Élise.
Comme elle est sauvage !
Fierval.
Ah, oui, sauvage ; fiez-vous à ces pudeurs villageoises ; ce sont bien les plus trompeuses friponnes…