Page:Capus – Qui perd gagne.djvu/25

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— Tais-toi donc, ce n’est rien. Tiens ! tu ne sais pas, si j’étais riche ? Je payerais tes petites dettes, les plus ennuyeuses, celles qui gênent dans la rue. Je suis sûre que c’est ça qui t’empêche de gagner de l’argent et de te créer une position…

— Peut-être.

— Tu es gentil, au fond, et je t’aime bien. Quand tu serais riche, ce serait ton tour, n’est-ce pas ?

Elle répéta à plusieurs reprises :

— Je t’aime bien, va, je t’aime bien. Nous sommes très amis, nous deux, mon chéri.

Cette circonstance rendit leur union plus intime. Le