Et il ajouta :
— Je vais essayer une autre affaire.
— Bonne idée, excellente idée, répliqua Farjolle. Oh ! pour celle-là, vous pouvez être tranquille, je vais vous la soigner… J’en réponds de celle-là… Qu’est-ce que c’est ?
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/4/43/Capus_%E2%80%93_Qui_perd_gagne_%28page_33_crop%29.jpg/290px-Capus_%E2%80%93_Qui_perd_gagne_%28page_33_crop%29.jpg)
Borck parut contrarié :
— Ah ! voilà… C’est que l’idée n’est pas de moi… Il s’agit de lancer un corset… C’est un de vos collègues qui me l’a proposée et j’ai accepté.
— Un collègue ! s’écria Farjolle, navré de voir lui échapper un de ses rares clients. Vous ne me donnez pas votre publicité ?
— Puisque l’idée n’est pas de moi, je ne puis guère…
— Et qui est-ce, ce collègue ?
— Velard, un petit, mince. Il est venu me trouver ce matin… Il a une belle voiture.
— Je le connais, votre Velard, parbleu ! Il se fourre partout…
— Il était ici à huit heures…
— Monsieur Borck, monsieur Borck, je n’ai pas de