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jours quelque chose, pied ou aîle, n’importe, & voilà comme on fait une bonne maison.
M. DUBUT.
Mais, j’ai assez de bien pour moi.
Dame JAQUELINE.
On n’en a jamais trop, il faut amasser ; on ne sait pas ce qu’il peut arriver.
M. DUBUT.
Il ne faut pas se méfier de la Providence, Dame Jaqueline.
Dame JAQUELINE.
Je sais bien qu’on dit cela ; mais il ne faut pas refuser non plus ce qu’elle nous envoye ; il ne faut pas jeter à ses pieds ce qu’on tient dans ses mains.
M. DUBUT.
Oui, oui, vous avez raison. Donnez-moi mon habit.
Dame JAQUELINE.
Le voilà, le voilà. Vous ne ferez rien de tout ce que je vous dis là ?
M. DUBUT, mettant son habit.
Si, si, ne vous embarrassez pas. Ma cravate ?