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Scène II.
M. DEGRANTIER, L’ABBÉ, M. DUPONT.
DE L’ISLE, annonçant.
Monsieur l’Abbé de la Sourdiere.
M. DEGRANTIER.
Ah ! Monsieur l’Abbé, je suis charmé de vous voir.
L’ABBÉ.
J’avois peur de ne pas vous trouver.
M. DEGRANTIER.
Je devois sortir, ce matin ; mais une affaire que j’avois, est remise ; j’en suis bien aise, parce que j’ai l’honneur de vous voir.
L’ABBÉ.
C’est que j’ai une grande affaire à vous communiquer : c’est de la Vicomtesse ; elle vouloit venir elle-même ; mais elle a été obligée d’aller à Versailles.
M. DEGRANTIER.
Qu’est-ce que c’est ?
L’ABBÉ.
C’est pour un homme qu’elle protège beau-