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Mad. DEVILLEMARE.
Eh bien ! oui ; mais je ne peux pas faire autrement ; ne parlons plus de cela.
M. DEGRANTIER.
Je n’en parlerai pas si vous voulez ; mais si vous vous couchiez comme moi, à minuit, vous verriez que vous vous porteriez à merveille. Je le disois encore hier à votre mari.
Mad. DEVILLEMARE.
Si vous m’aimiez, voilà ce que vous ne lui diriez pas.
M. DEGRANTIER.
Mais je vous demande pardon : c’est parce que je vous aime.
Mad. DEVILLEMARE.
Nous allons le voir ; car je viens vous demander de me faire un plaisir.
M. DEGRANTIER.
Qu’est-ce que c’est ?
Mad. DEVILLEMARE.
Vous connoissez la Marquise de Courrière ?
M. DEGRANTIER.
Oui.
Mad. DEVILLEMARE.
Vous savez comme nous nous aimons ?