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M. DE S. HILAIRE
Parlez-moi naturellement, j’aimerois fort les coups de bâton.
M. GALAND.
Prenez plutôt le parti de la douceur ; cela auroit moins d’inconvénient.
M. DE S. HILAIRE
Oui ; mais cela sera lent.
M. GALAND.
Non, non, attendez quelques jours, vous verrez que cet homme-là prendra son parti.
M. DE S. HILAIRE
Vous le croyez ?
M. GALAND.
Oh sûrement vous ne le reverrez plus.
M. DE S. HILAIRE
Vous me le promettez ?
M. GALAND.
J’en réponds, même.
M. DE S. HILAIRE
En ce cas-là… Mais si je le retrouve encore, pour lors je prendrai le parti de la fenêtre.
M. GALAND.
Vous ne serez plus exposé à cette violence.