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M. PILLIER.
Et de belles scenes !
M. SANGLIER.
Pas tant que dans Lully, voilà le vrai goût François & que je voudrois bien voir renaître, sans cela nous sommes perdus.
M. PILLIER.
Les ballets nous écraseront tout-à-fait, Monsieur, quand la Musique nouvelle ne prendroit pas le dessus.
M. SANGLIER.
Comment faire donc ?
M. PILLIER.
Je n’en sais rien.
M. SANGLIER.
Il n’y a presque plus de gens de notre parti.
M. PILLIER.
On ne veut que des Ariettes.
M. SANGLIER.
Et de la Danse.
M. PILLIER.
Je cherche, depuis long-temps, quelque moyen de remédier à tout cela.