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M. DUBOIS, fils.
Parlez de la mere, sur-tout.
M. DISCRET.
Ne vous embarrassez pas. (Il écrit.)
M. DUBOIS, fils.
Nous verrons.
M. DISCRET.
Tenez, voilà le commencement.
M. DUBOIS, fils.
Voyons.
M. DISCRET, lit.
Mademoiselle,
Je mets la main à la plume, mais avec regret ; mon cœur saigne de tous les côtés, hors du vôtre, quand il pense à Madame votre mere, qui est, comme un dragon, toujours envers moi.
M. DUBOIS, fils.
C’est bien ; mais…
M. DISCRET.
Écoutez, écoutez, vous serez content. Il me vient une bonne idée dans la tête. (Écrivant.)
« Et qui ne peut vous donner que de mauvais conseils, quant à l’égard de mon amour. »
M. DUBOIS, fils.
C’est cela ; mais il faudrait que la mere pût