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HENRIETTE.
Ne comptez pas que j’y consente jamais.
P. LE NOIR.
Combien je vais être heureux ! Dites-moi, je vous prie, où je pourrai trouver Monsieur de Valbon, Monsieur Duchesne… Mais pourquoi me quittez-vous, Henriette, ma chere Henriette ? Elle est sans doute piquée de ce que je l’ai deviné. Que cette pudeur est charmante ! que la Baillive est éloignée de lui ressembler ! mais voici Monsieur de Valbon, ne perdons pas un instant.
Scène IV.
M. DE VALBON, P. LE NOIR.
M. DE VALBON.
Eh ! Pierre le Noir, je suis bien aise de te trouver ici, j’ai à te parler.
P. LE NOIR.
Et moi je suis très-pressé de vous dire une chose très-intéressante, & qui ne pourra que vous plaire, puisque personne n’aime autant que vous à obliger.
M. DE VALBON.
C’est qu’on n’est pas heureux sans cela ; mais