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Page:Carmontelle - Théâtre de campagne, tome I.djvu/182

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Le Comte.

Je serois bien ingrat ! non, Monsieur ; tant que vous voudrez bien me souffrir ici, je vous réponds d’y demeurer.

Le Commandant.

Tout ce que je desire seulement, c’est que vous ne partiez point avant d’avoir assuré mon bonheur.

Le Comte.

Songez que j’en suis très-occupé.

Le Commandant.

Hâtez-en donc le moment. Voici la Marquise, profitez de cet instant ; je ne m’éloignerai pas afin de savoir mon sort dès qu’elle vous quittera.