Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/173

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 24 )


pouvoir de celui pour qui j’avais le plus d’inclination. Pendant que sa main officieuse préparait mes plaisirs, je laissai entraîner la mienne par le vieillard, qui l’introduisit dans sa culotte : il me fallut tâtonner à plusieurs reprises pour trouver son pitoyable engin. Cependant, épris de mes attouchemens, il soupirait avec tant de force et d’agitation qu’on l’aurait cru livré à un songe pénible. Mais, lorsqu’après beaucoup de perquisitions j’eus rencontré ses minces appas, je me retournai précipitamment de l’autre côté, et, comme par hasard, je laissai tomber ma main sur la cuisse de l’autre. Pour le coup, je ne fus pas trompée, et à la faveur de l’ombre de la nuit rien n’échappa à l’avidité de mes attouchemens, mon sein, les environs du jardin de Cythère sont également