Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/184

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
( 35 )


combinés avec les siens pour rester à son poste donnaient plus de vivacité à son action et plus de prix à ma jouissance, aussi m’écriai-je, arrachez-le, ma… da… me, arra… chez le donc ! Mes soins, ceux de sa femme, les injures qu’elle lui prodiguait, la grêle de coups dont elle l’accablait, ne lui firent lâcher prise que lorsqu’il eût terminé sa carrière. Il fut éconduit par sa chère moitié avec toute la fureur que la vue de son infidélité lui méritait. — Ah ! un moment Caroline… et ce Beville et ce coquin d’aubergiste, faut-il que je leur doive à chacun un coup. — En vérité, mon ami, un suffira pour deux, il faut se ménager, tu vois que je suis en voyage. — Je t’entends, j’y suis, ah dieu ! c’est fait. — J’ai bu. — Encore. — Donnez… et le biscuit… bon… — Je continue :