Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/245

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nées de feu. Ils se précipitent sur moi. Ma chemise est enlevée ; mes appas sont à découvert, et chacun d’eux y applique ses lèvres ardentes ; aucune partie de mon corps n’est exempte de leurs baisers : les quatre jeunes filles prodiguent les mêmes caresses à Ali.

Cependant nos jeunes combattans se rapprochent, un des plus vigoureux turcs enlève une fille, lui enfonce son priape, et, la soutenant dans ses bras, il court autour de l’appartement ; les filles le suivent en le frappant sur le derrière. Les trois autres hommes les suivent ; tous se mêlent, et tout est confondu.

Cependant l’un des turcs se met à genoux, il baise le joli petit gazon de sa voisine ; cette action la fait soupirer d’ivresse, elle porte la main vers l’en-