Page:Caroline et Saint Hilaire, ou Les putains du Palais-Royal, 1830.djvu/258

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Qu’un vit long dur et gros faisaient bien mieux comprendre
Notre fouteur, prenait, poil, cul, tétons,
Et sa main enhardie
Soudain arrive au Con.
Caroline étourdie,
Tombe sur le gazon,
Mollement étendue.
Bientôt haletante, éperdue,
Elle soupire et dit qu’elle est six fois foutue
Ainsi vient un troisième laron,
Qui se saisit de maître Aliboron.


Tu as vu, mon cher Saint-Far, ma franchise jusque dans les moindres détails ; j’espère qu’elle te donnera confiance dans l’épanchement des sentimens que tu m’inspire et que je t’exprime. Oh ! oui, n’est-ce pas, tu vas aimer ta Caroline ? elle jure de t’ado-