Cour, aux deux « séances ». C’est le conseiller garde-scel. En 1572, il fit enregistrer des « lettres de permission » qui lui donnaient satisfaction à ce sujet et l’autorisaient à « participer aux épices » dans les deux « séances[1] ».
On donne le nom de gens du Roi au procureur général, aux avocats généraux et aux substituts du procureur général. Ils sont hiérarchiquement placés au-dessous des conseillers. Dans toute liste des officiers de la Cour, ils ne viennent qu’après eux[2] ; dans les registres secrets, aux « ouvertures de séances », ils ne sont pas même cités[3] ; dans les registres d’audience, le greffier inscrit, au début de chaque audience, les noms des présidents et des conseillers ; il néglige celui de l’avocat général qu’il ne relève qu’au cours des débats[4]. Lorsque toutes les chambres sont assemblées, les hauts sièges se trouvent occupés par les prési-