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vertu de la clique et non par la volonté de la nation ! qui se substitue audacieusement aux pouvoirs publics et nous impose sa volonté arbitraire et pétrie d’injustice !

Par quel excès de lâcheté, de faiblesse, d’oubli de notre dignité, la subissons-nous ! par quelle aberration inconcevable les chambres de Québec, de même, que le gouvernement d’Ottawa en subissent-ils le joug ?

Avec une telle plaie de puissance gouvernementale, est-il étonnant que nous subissions les avanies énumérées plus haut ?