Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/378

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procède de Moi, pour ravir leur esprit et leur cœur, en consumant le sacrifice de leur désir.

Le regard de leur intelligence se porte alors vers moi, pour contempler ma Divinité, emportant à sa suite la volonté qui s’unit à moi pour s’y nourrir. Cette vue est une grâce infuse que j’accorde à l’âme qui m’aime et me sert en toute Vérité.