Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, I.djvu/437

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cesse de crier vers Moi et de m’offrir pour vous ces larmes de feu dont, dont je t’ai déjà parlé.

J’ai fini. Je t’ai exposé les différents degrés des larmes, leur perfection, et le fruit que l’âme en retire. Ce fruit, t’ai-je dit, c’est, pour les parfaits la vie éternelle, et pour les méchants l’éternelle damnation.