Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, II.djvu/204

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l’âme du pêcheur, pour le retirer du péché mortel !

Je vais te parler maintenant de la conduite de ma providence à l’égard de ceux qui, sortis de leur faute, demeurent encore imparfaits. Sans revenir sur ce qui a été exposé avec ordre des états de l’âme, j’y toucherai très brièvement.