Livre:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, II.djvu

éléments Wikidata
La bibliothèque libre.
TitreLe Dialogue de Sainte Catherine de Sienne Voir l'entité sur Wikidata
AuteurCatherine de Sienne Voir l'entité sur Wikidata
TraducteurHurtaud
Maison d’éditionLethielleux
Lieu d’éditionParis
Année d’édition1913
BibliothèqueBibliothèque nationale de France
Internet Archive
Fac-similésdjvu
AvancementÀ corriger
SérieTome 1Tome 2

Pages


IIIe RÉPONSE : MISÉRICORDE A L’ÉGLISE

LA RÉFORME DES PASTEURS


De la dignité du prêtre et du Sacrement du corps du Christ. De ceux qui se communient dignement et de ceux qui le font indignement 
 1
Comme toutes les impressions des sens corporels sont trompées dans ce sacrement, mais non les sens de lame, c’est avec ces sens intérieurs qu’il faut voir, goûter, toucher. D’une belle vision qu’eut cette âme à ce sujet 
 9
De l’excellence de l’âme qui reçoit ce sacrement en état de grâce 
 13
Comment ce qui a été dit touchant l’excellence du sacrement fait mieux connaître la dignité des prêtres ; et comment Dieu exige d’eux une pureté plus grande que des autres créatures 
 15
Comment l’on ne doit pas vendre ni acheter les sacrements. Comment ceux qui les reçoivent doivent subvenir aux besoins temporels des ministres ; et comment ceux-ci doivent faire trois parts des offrandes qui leur sont fuites 
 17
De la dignité des prêtres ; comment la vertu des sacrements n’est pas amoindrie parles fautes de ceux qui les administrent ou qui les reçoivent ? Et comment Dieu ne veut pas que les séculiers s’arrogent le droit de les corriger 
 19
Comment Dieu regarde comme dirigées contre lui-même les persécutions que l’on fait subir à l’Église et à ses ministres. Et comment cette faute est plus grave qu’aucune autre 
 22
Où l’on parle de ceux qui, de différentes manières, persécutent l’Église et les ministres 
 28
Bref résumé de ce qui a été dit sur l’Église et sur les ministres 
 32
De l’excellence des vertus et des œuvres saintes des ministres vertueux et saints. Comment ils ont la propriété du soleil et comment ils corrigent ceux qui leur sont soumis 
 34
Résumé du chapitre précédent et du respect que l’on doit aux prêtres, qu’ils soient bons ou mauvais 
 49
Des péchés et de la vie coupable des mauvais prêtres 
 53
Comment ces ministres d’iniquité sont conduits par l’injustice, et particulièrement en ne corrigeant pas leurs sujets 
 59
De maints autres vices de ces mauvais prêtres, en particulier de la fréquentation des cabarets, du jeu et du concubinage 
 62
Comment ces ministres se rendent coupables d’un très grand péché. Et d’une belle vision qu’eut cette âme à ce sujet 
 66
Comment ces fautes des ministres sont la cause qu’ils ne corrigent pas leurs sujets. Des vices des religieux. Des maux nombreux qui découlent de cette absence de correction 
 72
Comment dans ces mauvais ministres règne le péché de luxure 
 79
Comment ces ministres sont dominés par l’avarice. Ils prêtent à usure, mais surtout ils vendent et achètent les bénéfices et les prélatures. Des maux que cette cupidité a causés à l’Église 
 85
Comment ces ministres sont dominés par l’orgueil qui leur fait perdre le sens de la vérité, et comment dans cet aveuglement, ils en arrivent à simuler la consécration sans consacrer réellement 
 94
De beaucoup d’autres péchés qui se commettent par orgueil et par amourpropre 
 101
De beaucoup d’autres péchés que commettent les mauvais pasteurs 
 111
De la différence de la mort des justes d’avec celle des pécheurs. Et premièrement de la mort des justes 
 115
De la mort des pécheurs et de leurs peines en ce dernier instant 
 123
Bref résumé de ce qui a précédé, et comment Dieu défend aux séculiers de porter la main sur ses prêtres. Comment aussi il invite cette âme à pleurer sur ces prêtres prévaricateurs 
 134
Comment cette âme dévote en louant et remerciant Dieu, prie pour la Sainte Église 
 137


IVe RÉPONSE. — LA PROVIDENCE DE LA MISÉRICORDE


Commencement du traité de la Providence de Dieu. Et d’abord de la Providence en général, dans la création de l’homme à l’image et ressemblance de Dieu — dans l’Incarnation de son Fils qui est venu pour ouvrir la porte du paradis fermée par le péché d’Adam — et dans le Sacrement de l’autel où il se donne à nous en nourriture 
 145
Comment l’espérance est un don de la Providence divine, et comment plus on espère parfaitement, plus parfaitement aussi Ton goûte la Providence de Dieu 
 150
Comment Dieu a pourvu dans l’Ancien Testament aux besoins de l’homme, par la Loi et par les Prophètes. Puis, par l’envoi de son Verbe, enfin par les Apôtres, par les Martyrs et les autres saints. Comment rien n’arrive aux créatures qui ne soit l’effet de la Providence de Dieu 
 157
Comment tout ce que Dieu permet n’arrive que pour notre bien et pour notre salut et combien aveugles et abusés ceux qui pensent le contraire 
 160
Comment Dieu pourvut en une circonstance particulière au salut dune âme. 
 165
Où Dieu applique sa Providence à l’égard des hommes, et se plaint de leurs infidélités. Exposé d’une figure de l’Ancien Testament qui enferme une précieuse doctrine 
 167
Comment la Providence divine nous ménage des tribulations pour notre salut. Du malheur de ceux qui mettent leur confiance en eux-mêmes, et de l’excellence de ceux qui espèrent dans la Providence 
 173
Comment Dieu exerce sa Providence sur l’âme, en lui donnant son Sacrement. Comment il pourvoit aux désirs de ses serviteurs affamés du Sacrement du Corps du Christ. Comment il pourvût maintes fois par une intervention merveilleuse aux besoins d’une âme qui désirait ardemment l’Eucharistie 
 180
De la Providence de Dieu à l’égard de ceux qui sont en péché mortel 
 188
De la Providence de Dieu à l’égard de ceux qui sont encore dans l’amour imparfait 
 193
De la Providence de Dieu vis-à-vis de ceux qui sont dans la charité parfaite 
 202
Bref résumé de ce qui précède. Explications des paroles du Christ à saint Pierre : « Jette tes filets à droite de la barque. » 
 210
Comment il en est qui sont plus habiles à jeter le filet et qui prennent plus de poissons. De l’excellence de ces parfaits 
 215
De la Providence de Dieu en général, visà-vis de ses créatures, en cette rie et dans l’autre 
 219
De la Providence de Dieu à l’égard de ses serviteurs pauvres ; comment il leur procure les choses temporelles 
 224
Les maux qui découlent de la possession ou du désir déréglé des richesses temporelles 
 229
Excellence de la pauvreté spirituelle. Comment le Christ a enseigné cette pauvreté, non seulement par sa parole, mais par son exemple. De la Providence de Dieu envers ceux qui embrassent cette pauvreté 
 234
Résumé de ce qui a été dit sur la divine Providence 
 245
Comment cette âme, après avoir loué et remercié Dieu, le prie de lui parler sur la vertu d’obéissance 
 247


L’OBÉISSANCE


Où Ton trouve l’obéissance. Ce qui la fait perdre. A quel signe l’homme peut connaître qu’il la possède ou non. Quelle est la compagne de l’obéissance ? Qui la nourrit ? 
 251
Comment l’obéissance est une clef qui ouvre le ciel. De la nécessité de porter toujours cette clef attachée à la ceinture. Ses qualités 
 256
Oii l’on parle à la fois de la misère des désobéissants, et de l’excellence des obéissants 
 262
De ceux qui aiment tant cette vertu qu’ils ne se contentent pas de l’obéissance commune aux commandements, mais veulent pratiquer l’obéissance particulière 
 266
Comment on parvient de l’obéissance commune à l’obéissance particulière. De l’excellence des ordres religieux 
 268
De l’excellence des religieux fidèles à l’obéissance et de la misère des religieux désobéissants 
 278
Comment les vrais obéissants reçoivent cent pour un, et la vie éternelle. Ce qu’il faut entendre par cet un et par ce cent 
 290
De la perversité, des misères et des peines da désobéissant et des fruits amers que produit la désobéissance 
 293
De l’imperfection de ceux qui vivent avec tiédeur dans la Religion, tout en se gardant du péché mortel. Remède pour sortir de cette tiédeur 
 301
De l’excellence de l’obéissance et des biens qu’elle procure à qui la pratique en toute vérité 
 306
Distinction de deux obéissances : celle des religieux et celle que l’on rend à une personne en dehors de la religion 
 310
Comment Dieu ne mesure pas sa récompense à l’importance ni à la durée des œuvres des obéissants, mais à la grandeur de la charité et à la promptitude de l’obéissance. Miracles que Dieu a opérés par cette vertu. De la discrétion dans l’acte d’obéissance. Des œuvres et de la récompense de vrais obéissants 
 314


CONCLUSION


Résumé de tout le livre 
 321
Comment cette âme très dévote, en remerciant et en louant Dieu, prie pour le monde entier et pour la sainte Église. Elle termine cet ouvrage en recommandant la vertu de foi 
 328