Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, II.djvu/45

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sur tous les chrétiens qui sont en péché mortel, et qui, par là même, méprisent le Sang, en se privant de la vie de la grâce. Tous m’outragent, mais bien plus grave. est la faute de ceux dont je t’ai parlé spécialement.