Page:Catherine de Sienne - Le Dialogue, Hurtaud, 1913, II.djvu/73

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moins tenus toujours, et s’ils y manquent à cause des fautes des pasteurs, leur péché à eux n’en est pas moins grand. Cependant, ces malheureux sont des miroirs, d’iniquité, alors que je les avais choisis pour être des miroirs de vertu.