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Page:Chamfort - Œuvres complètes éd. Auguis t1.djvu/165

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DE cîia:mfokt. 1:41

V. 6., Mais la diverse nourrituie. . .

Ce mot st prenait alors , nirnie dans le style noble , pour s> no- ninie d'éducation. Corneille l'emploie plusieurs fois en ce sens.

V. 18. Tôurne-broches par lui , elc. . . .

Il est jilaisaiit d'avoir suppf)sé que nos cliiens appelés tourne- broches viennent de cette belle origine, comme d'avoir fait hon- neur au marmiton du surnom de son élève.

V. ig. . . A part. . . . hasards. Cette consonnance déplaît à l'oreille. Les quatre derniers vers sont parfaits.

F.VliLIÎ XXV.

V. 1; Les vertus devraient être sœurs.

Ce petit Prologue est excellent ; mais il amène une fable à mon gré bien médiocre. La Fontaine a beau dire que chacun est sot et gourmand, il ne l'est pas au point de donner la moindre vrai- semblance à cet Apoloj^iic. il était aisé d'établir la ménK' nioralu .sur mic supposition moins absurde.

V. 38. Tout cela c'est la mer à boire.

M. de Voltaire criticjue ce vers comme plat et trivial. Il me semble que ce qui rend excusable ici cette expression populaire , c'est qu'elle fait allusion à une faille où il s'agit déboire une rivière.

FAELF. XXVI.

\'. 1. Que j'ai toujours haï les pensers du vulgaire I Pensers \ le penser est uji mot poétique, pour la pensée.

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