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Page:Chancennes - Esclave amoureuse, 1957.djvu/126

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ESCLAVE AMOUREUSE

— J’aimerais vous battre, moi.

— Vous aussi !!!

M. Bodewski resta stupéfait de cette exclamation que Lucette avait laissé échapper malgré elle. La confusion égalait sa frayeur. Que lui voulait cet homme ? Elle fit mine d’appeler, mais d’un geste il l’en empêcha.

— Inutile, ne criez pas, ne pleurez pas… je ne crains personne ici.

Et il ferma la porte à double tour.

— Monsieur, s’écria-t-elle, je ne comprends pas votre attitude. Vous n’êtes pas chez vous ici.

— Tout doux, tout doux, la belle enfant…

— Allez-vous-en.

— Je ne m’en irai pas, non, je ne m’en irai pas.

Lucette vivait d’atroces minutes d’angoisses. M. Bodewski lui enserra la taille de ses bras vigoureux. Elle ne pouvait s’échapper ni même se débattre. Il s’assit, la fit ployer sur ses genoux de façon qu’il lui fut facile de découvrir son séant. Il ricanait, tel un satyre qui va consommer son crime.

La maintenant solidement, il releva les jupes de Lucette et il put admirer à son aise le charmant postérieur de la gentille institutrice.

— Ah ! Mademoiselle Lucette, vous ne vous attendiez pas à pareil châtiment !

De Max, vous acceptez les pires fantaisies bru-