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LXXXIII
ET LES FLAGELLÉS DE PARIS

chien quelques années auparavant. Ce fut un coup de lumière pour le nouveau correspondant qui, naturellement, n’eut rien de plus pressé que d’informer la dame qu’il connaissait l’histoire du collier et avait vu toutes ses anciennes lettres, et qu’il n’avait pas l’intention de continuer à échanger des lettres sans un résultat quelconque. Surprise de la bonne personne, qui, cependant ne se démonta pas — par la poste ! — car elle essaya de sortir du mauvais pas, à la manière de son sexe, que ce soit bonne à tout faire ou grande dame : par des mensonges. Si cette gracieuse personne voulait publier toutes les lettres qu’elle a reçues, cela ferait un livre étonnant.

Nous donnons ci-après une lettre de masochiste par correspondance, qui, pour nous, ne demandait que des lettres libidineuses et — pas autre chose, et nous terminons par les efforts d’un « cérébral » qui écrivit à un monsieur en faisant semblant d’être une femme pour voir ce que ce dominateur de femmes, voulait faire de ces belles martyres. Mais,