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Page:Charles d Orléans - Poésies complètes, Flammarion, 1915.djvu/537

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<poem style="margin-left:8em; font-size:100%"> Par Faulceté qui la surmonte, Et l’a d’oultrance deffiée. De Bonne Foy s’est aljrée, Et de son aide l’a priée, Mais on n’en tient que peu de conte. Comme monnoye descriée, Loyaulté je voy abriée Dessoubz le pavillon de Honte. Du tout la tiens pour ravallée. Par montaigne et par vallée. Est notoire ce que raconte. En maison de Duc, ne de Conte, Ne se treuve qu’à l’eschappée. Comme monnoye descriée.

RONDEAU CCLXXVII. Laissez Baude buissonner, Le vieil Briquet se repose, Désormais travailler n’ose, Abayer, ne mot sonner. On lui doit bien pardonner, Ung vieillart peut pou de chose. Laissez Baude buissonner. Le vieil Briquet se repose. Et Vieillesse emprisonner L’a voulu, en chambre close ; Par quoy j’entens que propose Plus peine ne lui donner. Laissez Baude buissonner.