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Page:Charron - De la sagesse, trois livres, tome III, 1827.djvu/167

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Il n’y a poinct de meilleur remede que de vouloir ce qu’elle veust, et, selon l’advis de sagesse, faire de necessité vertu : (…). En nous voulant escrimer ou disputer contre elle, nous ne faisons qu’aigrir et irriter le mal : (…). Outre que nous en aurons meilleur marché, nous ferons ce que nous debvons, qui est de suyvre nostre general et souverain, qui l’a ainsi ordonné. (…). Contre les maux privez qui nous viennent du faict d’autruy, et nous penetrent plus, il faut premierement bien les distinguer, affin de ne se mescompter. Il y a