Sa voix avoit une harmonie…
Un critique, dans un extrait malheureusement trop court, et dont tout le monde a remarqué le ton excellent et les manières distinguées, a bien voulu m’appliquer ce passage. Je ne me flatte point de mériter un pareil éloge : je n’avois en vue, en écrivant ceci, que de peindre l’éloquence, le style et la personne même de Fénelon. En effet, on peut remarquer que cela s’applique de tous points à l’auteur du Télémaque.
Que Jérôme se préparoit à visiter les Gaules, etc.
Saint Jérôme voyagea dans tous les pays, et se fixa ensuite dans la Judée, à Bethléem, où nous le retrouverons.
Je ne sais… si nous nous reverrons jamais.
L’auteur a vu des personnes s’attendrir à la lecture de cette lettre. Le flattoit-on ? Étoit-ce une de ces politesses convenues par lesquelles on trompe un auteur ? Il ne sait.
Comme Eudore alloit continuer son récit, etc.
Le récit étant très-long, je l’ai interrompu plusieurs fois pour délasser le lecteur ; j’ai même osé le couper entièrement vers le milieu, par le livre de l’Enfer. Cette innovation dans l’art, la seule que je me sois permise, étoit apparemment nécessaire et très-naturelle, car personne ne l’a remarquée.
Des glands de phagus, etc.
Le phagus étoit une espèce de chêne ou de hêtre d’Arcadie : il portoit le gland dont on prétend que les premiers hommes se nourrissoient. (Voyez Théophraste.)
Lorsqu’un fils d’Apollon.
C’étoit Ulysse qui pleuroit en entendant le Démodocus d’Homère chanter les exploits des Grecs aux festins d’Alcinoüs. (Odyss., viii.)