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défense m’afflige. Elle est si bonne, cette histoire ! Convenez qu’on en pourrait faire une jolie comédie. Il faudrait l’intituler Le renard ou le diplomate pris au piège.
— Le titre serait peut-être un peu long, dit-elle. Bah ! quand nous composerons notre affiche, nous aviserons. »
Là-dessus il la quitta ; mais il se dit en rentrant chez lui :
« C’est égal, je trouverai tôt ou tard un moment pour en parler à Hortense. »