Page:Cinq nô.djvu/262

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asl c 1 14 Q N 0 moyen d’un · mot reporte ·, la comparaison classique pour la brnevete de Pexlstence. Page 244 : (*) Le slam s’approche du tambourin et le frappe h deux ou trois reprises. i (*) Il a ete necessaire ici d‘intervertir l’ordre des vers dans la g traduction. N Page 245 : i (*) Expression ayant le sens de · touiours, sans treve ·. i (’) Emprunt a une poesie anonyme du Koklnslni, livre XIV : g Ama no kara Le dieu tonnant lui-meme { Fimbwdorokashi Qui fait retentir sous ses pas Nano kami mo La plaine des cieux. N Omou vmka woba Comment donc p0urrait·il X Sakura mono ka wa? Séparer ceux qui s‘aiment? g Page 246 : Q (•) Un simple manoeuvre, un homme du peuple comme lui, ne devait pas en eftet se trouver sur le passage du cortege g imperial. i (') Il y avail la queique chose d’etrange qui ne se trouve pas E dans les cas ordinaires d‘amour sans espoir. I Page 248 : (*) Au suiet de ce mot, cf. p. 226, n. 1 de la p. 216. et p. :34. T (’) Peut-etre Phommage alnsi rendu était-il capable d‘apaiser N l‘esprit du mort. a Page 250_ : (*) Poesie anonyme inseree au livre XI du Gosenshii, citee ici Q avec deux legeres variantes sans importance au point de `vue du sens. Le ii est le conduit de bois ou de bambou A l’aide duquel on detourne une source pour alimenter un etang. Le sens est donc : · quand meme tout serait desseche autour de moi, je n’écarterai pas l’aqueduc et ne repandral pas ailleurs l’eau du lac de mon coeur ». Mais ii peut etre aussi la base indetinie du verbe ia, · dire, parler ·; d’ou le second sens : · ie ne parlerai pas, je ne dirai pas le secret de mon cceur ·. Nous avons essaye _ de fondre ces deux sens dans la traduction. Les premiers vers E a