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LES JACQUES

quetée, leurs membres rompus. Vous le lui direz, frère Loys, termina Georget dont l’exaltation se brisait en un sanglot. Elle vous répondra, j’en suis sûr, que j’ai agi comme il se devait. Frère Loys regarda longuement Georget. Puis maîtrisant son émotion, simplement il répondit : Tu as raison, Georget. Adieu tous. Frère Loys ! appela Georget. Le moine s’arrêta comme il partait. Georget avait-il quelque regret ? Vous ne me laissez pas son portrait ? — C’est vrai, dit frère Loys en souriant, le voici. Qu’il te protège, Georget, au moment qu’il le faudra ! 1 143 -

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