Caron. « Dans les pays secs, on pourrait adapter l’appareil à un moulin à vent. »
La pétition, cela va sans dire, est repoussée. Passereau songe bien à tuer le tyran, comme il dit, mais, toute réflexion faite, il se résout à décéder autrement. Il commence par provoquer le colonel en question, et finit par le pousser à bout en lui soutenant que le nom de Jacques Coitier s’écrit par un c, quoi qu’en ait dit Casimir Delavigne, « le rimeur du Havre de Grâce », car le colonel Vogtland est un classique. Il appelle morveux ce détracteur de M. Delavigne et de M. Scribe. Et l’on joue aux dominos à qui exterminera l’autre. Le sort favorise ce diable de Vogtland. Passereau à cette fin sourit agréablement. Faites-moi sauter le caisson, dit-il.
Ses dernières paroles sont celles-ci :
« Écoutez bien ce que je vais vous dire, et faites le, je vous prie : la volonté d’un mourant est sacrée.
— Je le ferai !
— Demain matin, vous irez rue des Amandiers-Popincourt ; à l’entrée, à droite, vous verrez un champ