Page:Claude Farrère - Les civilisés, 1905.djvu/162

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Mévil, têtu, ces éblouissements-là ne finiront pas, et j’en crèverai.

— Tout finit, dit Torral. À ce soir, au cercle. »

Il s’éloigna, puis revint.

— « Par exemple, prends garde aux voitures. Tu as des tangences fâcheuses aux trajectoires des roues. C’est plus grave qu’un éblouissement rentré. »