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Page:Cleland - La Fille de joie (éd. 1786).djvu/280

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Reprenant donc les verges, je commençai d’en jouer de plus belle, quand, après quelques violentes émotions, & deux ou trois ſoupirs, je vis qu’il reſta ſans mouvement. Il me pria alors de le délier, ce que je fis au plus vîte, ſurpriſe de la force paſſive dont il venoit de jouir, & de la maniere cruelle qu’il ſe la procuroit ; car lorſqu’il ſe leva, à peine pouvoit-il marcher, tant j’y avois été de bon cœur.

J’apperçus alors ſur le banc les marques de la copieuſe effuſion qu’il venoit de répandre, & je vis ſon vilain membre qui s’étoit déja de nouveau caché dans ſon poil, comme s’il avoit été honteux de montrer ſa groſſe tête : ne voulant ceder qu’aux coups réiterés ſur ſes deux voiſines poſtérieures, qui ſouffroient ſeules du caprice de ce priape entêté.

Mon gaillard ayant repris ſes habits ſe plaça doucement près de moi, avec une