mauvaise humeur de bonne humeur, une malice contre les « Lunes descendant sur le temple qui fut », les « Terrasses des audiences du Clair de lune » et les « Cathédrales englouties ».
¶ Le public est choqué par le charmant ridicule des titres et des notations de Satie, mais il respecte le formidable ridicule du livret de Parsifal.
¶ Le même public accueille les titres les plus cocasses de François Couperin : « Le tic-toc choc ou Les Maillotins », « Les culbutes Ixcxbxnxs », « Les Coucous bénévoles », « Les Calotins et Calotines ou la pièce a trétous », « Les vieux galants et les Trésorières surannées ».
¶ Les musiciens impressionnistes coupèrent la poire en douze et donnèrent à chacun des douze morceaux un titre de poème. Alors, Satie composa douze poèmes et intitula le tout : « Morceaux en forme de poire. »
¶ Satie a connu le dégoût de Wagner en pleine Wagnérie, au cœur même de la Rose-Croix. Il prévint Debussy contre