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Page:Coeur-Brûlant - Les Cousines de la colonelle, 1911.djvu/41

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LES COUSINES DE LA COLONELLE

direction du sanctuaire, il se rendit compte des difficultés qui l’attendaient pour le moment de la bataille finale, celle où, sous peine de ridicule, il fallait vaincre ou mourir.

Florentine, cette fois, moins novice, se prêtait parfaitement à ses empressements et fut récompensée par un spasme d’une intensité plus prolongée, plus délicieuse que n’avait été celui de la nuit.

« Demain, se dit Georges, j’aurai mes gouttes et nous en finirons.

« Cet animal d’Albert va se moquer de moi, c’est certain ; mais bast ! l’essentiel est de ne pas faiblir en route. »

Albert n’était pas à Paris ; il devait n’y revenir que le lendemain.

Il fut décidé qu’en allant chercher Mme Briquart et Julia, qui avaient promis de venir dîner aux Charmettes, Jean rapporterait la commission demandée à l’ami Albert.


Les Cousines de la colonelle, Vignette de fin de chapitre
Les Cousines de la colonelle, Vignette de fin de chapitre