Page:Coiffier de Moret - Les enfans des Vosges, tome 1, 1808.pdf/129

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
(121)

je parvins en moins d’une heure à augmenter l’ouverture de près d’un pied de diamètre.

Je fus obligé cependant de me reposer, mais mon imagination ne demeura pas tranquille. Je pensai au parti que je pourrais tirer de ce que je faisais, et ce que j’avais d’abord envisagé comme une ressource, me parut alors de la plus grande inutilité pour mon salut.

La supposition la plus naturelle que je pouvais faire, était qu’une cave se trouvait au-dessous de moi ; en parvenant à en percer la voûte, il me restait encore à y descendre, ce qui ne serait pas sans danger, n’ayant rien pour me faire une échelle ; cet obs-