Page:Comédie humaine - Répertoire.djvu/167

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Guénic, qu’il avait accouchée, et qu’une subite révélation de l’infidélité de son mari avait fait tomber dans un état dangereux ; car elle nourrissait son fils, à cette époque. Dommanget, mis dans la confidence, traita et guérit la malade par des remèdes tout moraux (Béatrix).

Doni (Massimilla). — V. Varèse (princesse de).

Dorlange (Charles), premier nom de Sallenauve. — V. Sallenauve.

Dorlonia (Duc). — V. Torlonia.

Dorsonval (Madame), bourgeoise de Saumur, en relations avec M. et madame des Grassins, au temps de la Restauration (Eugénie Grandet).

Doublet, deuxième clerc chez l’avoué Desroches, en 1822 (Un Début dans la Vie).

Doublon (Victor-Ange-Herménégilde), huissier à Angoulême, sous la Restauration. — Il instrumenta, pour le compte des frères Cointet, contre David Séchard (Illusions perdues).

Drake (Sir Francis), Anglais, directeur du Théâtre-Italien de Londres, en 1839. — Il eut pour prima donna Luigia, qui succédait à la Serboni (Le Comte de Sallenauve).

Duberghe, marchand de vins de Cordeaux, à qui Nucingen acheta, en 1815, avant la bataille de Waterloo, cent cinquante mille bouteilles de ses vins, moyennant trente sous la bouteille ; le financier les revendit, chacune, six francs aux alliés de 1817 à 1819 (La Maison Nucingen).

Dubourdieu, né vers 1805, peintre de symbolismes, fouriériste, décoré. — En 1845, rencontré et accosté, au coin de la rue Neuve--