Page:Condillac - Traité des sensations, 1754, tome II.djvu/98

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tout, quand ils verront les explications que ce philoſophe en donne. Car il n’évite un préjugé, que pour tomber dans une erreur. Ne pouvant comprendre comment nous formerions nous-mêmes ces jugemens, il les attribue à Dieu : maniere de raiſonner fort commode, & preſque toujours la reſſource des philoſophes. « je crois devoir avertir, dit-il,… etc. » il