Page:Coras - Altercacion.djvu/325

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îî6 ALTERC. D’ADRIAN, témoigne. Poljpodù fraudes mitaberlf, yimphiloche Htrosj

Vtplaceas iUü, quorum accefjtrii yrbem. Ainsi récite la nature de ces bêtes) Plutarque au liure, où il traite s’il i a plus de raisô aux animaux terrestres, qu’Aquatiques. Certes Antifténés me plaît grandement, quand parlant de CCS flatcreaux parafîtcs, dit, q telles ftUjnù : personnes font plus pcrnicicufcs, quc ZZJZ les Corbeaux, d’autant que les corbeaux, n’arrachent les ïeux, qu’aux corps morts. & par ainsi sans iniure. car les morts, n’ont besoin de lumière, mais les Flateurs, corrompent les esprits des viuans.& les priuent dc la xaJtAu veuë’. Et Diogénés interrogé, la iiirf <.(. I. rnorfure de laquelle bête, étoit plus nuifante, &rdommagcablc ?répondit. Si tu demandes des fauuages, vn mé-