Page:Coras - Altercacion.djvu/326

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diſant.fi des priuccs, &doméftiqucs, vn flaicur. Car vn médifant, montre par contenance, Ton mauuais cœur, mais le dateur, louzla personne d’un aini.trahit cil, qui de lui se fie. Sc par • ainsi 1 orfence plus griéuemêt ‘. aueq ses parolles fljteufcs, & amiélces.aû- <i‘11 I r Diotenes quelles Je plus louucnr, crw# Jmpufubdula mellcyenerntlatents ‘d l’b Ectoutcfois(ô malheureux siecle) .Antorum, en ce tems ici la meilleure partie des biens, dignités, Sc honneurs, êt conquifc par alfentaciôs, amadoucmês, &flateries. voire comme disoit Anaxandridcs.

Nunc comitM yocatur tpfa aduUtlo. L’adulation, que chacun deuroît aigrement blâmer, & cruellement pu^ nir.êtappelée prudéce, fageflc, cour- 4 toifie, & : gracicufeté4.tcllemcnt qu’il « /w<. . faut ores dire aueques le Satyrique.