Page:Coras - Altercacion.djvu/82

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

E T D’E p I c T E T E. ef ou il et mauuais, clinique : ou herhler, d’urs m/R ;„4«, <4«4.Sentencesfortaprocliantes, s.„t„me de ce que Dieu a laifsc par écrit, qu’il ” êt plus facile, qu’un câble pafle par le pertuis d’une aiguille, qu’un riche, entre au Roiaume des cicux ^ non y. que par li, soient rejcttés de la fouueraine bonté de Dieu, tous les riches, &e opulcns : mais pour môtrer, com- — bien êt dâgereux, se laisser ainsi charmer, & cnforcclcr, aux biens de ce monde.& combien êt mortel, le venin lauarice. & les empcchemens, & difficuItés, qu’apportent les riche fses, à la droite voie d’un Chrétien. Donc Erradenda cuptdinls Fraui/ûnt eUmeota^, Hordte nu Et pour brauement expliquer, la rc- 7Z ponce d’Epidete. , i. rrC ’t • p Mdrttdldm QupdfisAjJ^’Ifclisçnihilquemalis 7 ^ 9-drjes £-Jj pigrimes.