Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
348
CLITANDRE.
Et puisqu’en sa faveur on prévient mon retour,
Il est trop criminel. Mais que viens-je d’entendre[1] ?
Je me tiens presque sûr de sauver mon Clitandre ;
La chasse n’est pas loin, où prenant un cheval,
Je préviendrai le coup de son malheur fatal ;
II suffit de Cléon[2] pour ramener Dorise.
Vous autres, gardez bien de lâcher votre prise ;
Un supplice l’attend, qui doit faire trembler
Quiconque désormais voudroit lui ressembler.
FIN DU QUATRIÈME ACTE.