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Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 1.djvu/474

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CLITANDRE.

Et puisqu’en sa faveur on prévient mon retour,
1285Il est trop criminel. Mais que viens-je d’entendre[1] ?
Je me tiens presque sûr de sauver mon Clitandre ;
La chasse n’est pas loin, où prenant un cheval,
Je préviendrai le coup de son malheur fatal ;
II suffit de Cléon[2] pour ramener Dorise.
1290Vous autres, gardez bien de lâcher votre prise ;
Un supplice l’attend, qui doit faire trembler
Quiconque désormais voudroit lui ressembler.

FIN DU QUATRIÈME ACTE.
  1. En marge, dans l’édition de 1632 : On sonne du cor derrière.
  2. L’édition de 1632 porte : Il suffit que Cléon ; toutes les autres : Il suffit de Cléon.