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Page:Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, tome 6.djvu/296

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LA TOISON D’OR.

Qu’après tant de travaux il ouvre à notre joie. 645
N’y perdons point de temps, et sans plus de séjour
Allons sacrifier au tout-puissant Amour.

FIN DU PREMIER ACTE.